vendredi 2 septembre 2016

Rien dire

- ou ?
- je vais pas te dire ! C'est une surprise. Il faut juste que tu fasse tes valises. J'ai déjà prévenu l'école de Théa et elle est au courant qu'on part. Avec elle...
- tu veux vraiment pas me dire ou on va ?
- ce ne serai plus une surprise...
Je l'est embrasser langoureusement. Je l'ai pousser sur le lit et j'ai embrasser son torse dénudé.
Un cri et mon nom retenti.
Je cours dans la chambre de Théa qui pleurait endormi dans son lit. Elle était en nage et se tortillait dans tout les sens.
Je l'ai réveiller et prise dans mes bras. Davon a été la pour nous. On est rester dans sa chambre toute la nuit jusqu'à ce qu'elle s'endorme a 3h du matin.
Je me suis endormi juste a côté d'elle.

J'ai senti au matin que plus personne n'était dans le lit. Je me suis réveiller dan une chambre qui n'était pas celle de Théa mais c'était une chambre que je connaissais bien. Une chambre qui n'était plus la mienne désormais.
- pourquoi je suis chez moi ? Je demande a Davon assis sur le bord de mon lit.
- ton ancien chez toi. Tu es ici pour prendre tous tes fringues restant pour les mettre dans ta valise.
- mais on part combien de temps ?
- un moment, et puis c'est bientôt les vacances, Théa a déjà rater tellement de court au début de l'année que c'est inexacte qu'elle aille encore en cours.
- bon ! OK
Il s'est lever, a fouiller dans mon placard ou il a sortit une de mes culottes. Il m'a montrer, grâce a mon miroir au dessus de l'armoire, celle ci, avec un sourire pervers.
- tu l'emmène que je te la retire...
- et si tu m'elevait déjà celle que je porte maintenant ?
- mmmh je sens que je vais aimer...

Il se penche vers moi et m'embrasse langoureusement. Il déchire la chemise qu'il avait mis sur moi. Il embrasse alors mon corps.
Il me regarde dans les yeux...
- on devrais aller chercher Théa ! Je lui dit
- bhin maintenant oui... Tu as tout gâcher...
Je suis partit voir Théa ou plutôt la chercher. Elle était rentrer a la maison et je le savais. Damon m'a expliquer qu'elle était pas très bien et qu'il était aller la chercher pour la déposer tranquillement chez nous.

Je suis arriver et j'ai trouver deux t-shirt sur le sol du salon. Je voyais bien qu'un seul des deux était a Théa et l'autre appartenait a un garçon. Je monte alors lentement jusqu'à la chambre de Théa. La porte était entre ouverte et par cette petite ouverture j'ai vue, Théa dans les bras de Roy, nu. Je voyais pas leur nudité mais je savais qu'il était nu sous le drap.
Elle dormait dans ses bras et lui prenait soin d'elle.
A 17 ans, je trouvais normal d'être amoureuse et de coucher avec quelqu'un par contre il ne fallait pas le faire sans protection. J'ai donc ouvert la porte et j'ai demander, sans crier, a Roy de sortir après avoir mis un bas.

Il est sortit et m'a demander ce que j'avais.
- ne t'inquiète pas, je ne suis pas sa mère et encore moins son frère. Je comprend que vous l'ayez fait mais tu as mis une capote ?
- ne vous inquiètez pas ! J'ai fait attention. J'aimerais juste vous demandez pourquoi vous l'emmenez ?
- je ne sais pas. En faite mon petit copain veux m'emmener quelque part et ne veux pas me dire ou !

mardi 30 août 2016

Une famille uni

- de quoi a tu peur ?
- j'ai peur de rester seule, j'ai peur de voir ma famille disparaitre d'un coup. J'ai perdu mon père, mon frère puis mon frère et revenu mais pas comme je voulais. Ma mère est en prison et j'ai pas envie d'aller la voir. Ma famille a changer et j'ai peur de tout perdre. J'ai retrouver mon frère après avoir pleurer pendant 5 ans. Je ne veux pas perdre mon temps, j'ai besoin de retrouver un sourire.
- tu ne dois pas sourire si c'est un sourire de façade alors. Ne sourit que quand tu es heureuse.
Elle a commencer a pleurer et c'est lever. Elle partait mais, encore assise, j'ai attraper son bras et j'ai tirer son corps vers moi. J'ai pris Théa dans mes bras. Elle s'est mise a pleurer de plus en plus.

- j'aimerais être heureuse ! Dit elle.
- a ton âge tu ne sera pas heureuse. Tu verra que tu ne le sera pas avant un moment...
- tu crois me réconforter ?
- mais je serai la pour aider au contraire. Tu es ma soeur, mon être, mon petit coeur, tu ma Speedy.
- je t'aime énormément !
- moi plus !

Elle a arrêter de pleurer, s'est détacher de moi, est monter et j'ai souffler de nervosité. J'ai senti une main réconfortante sur mon dos. Mon coeur a commencé a battre la chamade, les frissons on parcouru mon corps. J'ai senti mon corps et mon âme partir en cette personne.
Il s'est pencher vers mon visage, m'a embrasser dans le cou, m'a dit un lot doux et m'a demander ce qui n'allait pas.
A peine ai-je eu le temps de repondre, qu'un message met apparu a l'écran de mon iPhone.
Message d'Anna : "il va claquer la porte !"

Alors que je ne comprenais pas, j'ai entendu une porte s'ouvrir. D'un coup un bruit de claquement de porte me fit sursauter.
- elle et toute sa famille son des connards ! Cri Jay en entrant dans la pièce.
- qu'est ce qu'y ce passe ici ? Demande Théa du premier étage.
- rien ! Je lui répond
Malgré la réponse, elle descend en courant et viens vers Jay en criant :
- c'est quoi ce délire ? Cri elle
- ce délire concerne sa soeur ! J'ai rompu avec elle !
- pourquoi ? Demande Davon
- elle m'a avouer avoir coucher avec Lucas Hauchard pendant une fête.
- et c'est pour ça que toutes sa famille sont des Connard ?
- je me suis emporter désoler
- tu as bien fait de t'excuser, elle est loin d'être une connasse ! Cri Théa
- hey beauté tu vas te calmer oui !
Théa était a deux doigt d'étrangler Jay. Apres m'avoir défendu Théa est remonter dans sa chambre et Davon a virer son frère pour m'avoir insulter.

- tu n'est pas obliger de faire ça ! Je lu dit
- il t'a insulter, je ne cautionne pas ça ! C'est pas normal de t'insulter sous mon toit.
J'ai regarder l'intérieur des yeux de Davon, il était vraiment énerver et m'a fait peur. Je l'ai pris dans mes bras et j'ai senti son énervement partir lentement.
Je l'ai embrasser, j'ai senti en lui un soulagement comme si il avait peur que ce soit de famille de tromper son petit copain.
- et si dimanche on allait quelque part ?
- tu veux dire demain ?
- oui voilà !
- ou ?
-...

lundi 29 août 2016

Roy Harper

J'aperçus Théa assise sur une table du fond, tout par terre et elle déçue. Un gars embrassait son cou et son corps. Elle n'était pas nu et pourtant il kiffait l'embrasser dans le cou.
J'ai respirer fort et j'ai pris sur moi pour ne pas craquer et péter un câble. Théa ne faisait rien de mal tend qu'elle n'allait pas plus loin. Je ne voulais pas me comporter comme sa mère ou son frère mais je le devais en adulte responsable. Elle allait sûrement me rire au nez, vue que notre première discussion ou première vue depuis 3 mois c'était fait dans le lit de Davon a moitié nu.

- Théa ! Je me décide a sortir enfin
Elle saute de la table et un peu gêner me fait un sourire en rajustant son t-shirt.
- c'est qui lui ? Je demande
- c'est Roy Harper, mon petit copain.
- pour une fois qu'elle côtoie quelqu'un qui ne viens pas de son secteur.
Théa rit et s'asseoit sur le fauteuil avec un sourire large. Elle faisait sa mignonne. Un grand sourire avec deux trois mots doux me faisant passer pour une tutrice or per. Je pari qu'elle dira "tu ne t'enerve pas contrairement a mon frère c'est cool."

- tu ne t'enerve pas alors que mon frère c'est son habitude, ça c'est cool !
- je suis ta tutrice pour un moment, tend que vous n'allez pas jusqu'au bout. Je ne suis pas ton frère mais tu es comme ma soeur, j'aimerais pas que ma soeur tombe enceinte a 17 ans.
- je comprend, dit Roy
Il prend sa veste et sort en faisant un baiser a Théa...
- tu n'as rien gâcher alors qu'Oliver aurait tout gâcher en entrant.

Davon est entrer dans la maison, il ne savait pas que Théa était la alors il a crier des mots qu'elle aurai sûrement voulu oublier.
- mon amour ! Prépare toi a ton étonnante nuit. Tu vas pas être bien après ça. Je vais t'en faire voir de toutes les couleurs.
- et ça c'est l'exemple typique de ce que tu dois éviter.
- je veux embrasser tout ton corps nu, te faire l'amour passionnément pas comme des robots. Aller sur notre champ de guerre.
- ça encore c'est très beau, pas quand il le murmure pendant l'action ! Je répond a Théa. Mon amour, je suis avec Théa dans le salon.
- oh ! Je vais monter, cri t il
Je ris avec Théa.
- pourquoi il est monter ? Me demande elle
- il était nu ! Il aime exhiber son corps. Un matin après notre pari, il est venu me montrer son corps nu. J'avous que j'étais pas bien après ça.
Elle rit et soupir de bonheur. Son sourire s'estompe d'un coup. J'ai même pas eu le temps de suivre.

- qu'est ce qu'y a ma puce ?
- j'ai peur !
- de quoi a tu peur ?
-...

Mauvais temps

Dans les quelques minutes qui suivait la fin du dernière épisode, j'etais entrain de cuisiner et de danser dans la cuisine. Je savais que j'étais pas seule et que Théa étais entrain de dormir mais j'aimais vraiment danser. J'ai pris sur moi et j'ai éteins la musique.
Je coupais les tomates et Davon m'est survenu en entourant mon corps de ses bras. Je me suis retourner et j'ai embrasser ce bel âtre.
- tu as passer une bonne journée ? Il me demande
- pas sans toi !
- moi aussi j'ai passer une mauvaise journée...
On a rit et on s'est embrasser. Une tension sexuelle de retour entre nous. Il m'a soulever sur le plan de travail... A commencer a retirer mon petit pull. Il m'embrassais dans le cou.

D'un coup un bruit retentit, puis un cri. Je saute et cours vers Théa. Elle était tomber en tournant sur le canapé. Elle n'avait rien de casser et riait plus que nous.
J'ai regarder du coin de l'oeil, Davon, il le regardait un peu gêner et je voyais Théa rire en me regardant.
- tu as ton soutien gorge qui ce barre... Rit elle
Davon rit en coeur avec elle et s'approche de moi et souriant.
Elle remarque alors son nounours a ses pieds et me regarde avec émerveillement. Elle court jusqu'à moi et le saute dans les bras joyeuse.
- je t'adore ! Cri elle en montant dans sa chambre toute heureuse.
- tu peux m'expliquer ? Me demande Davon
- c'est quelque chose entre Speedy et moi...
- ne m'appelle pas comme ça ! Cri elle

Je ris et me tourne vers Davon.
- tu te comporte comme si c'était ta soeur  !
- Les Queens sont des amis de mon père de longue date et j'ai vécu ma vie entière avec eux pas loin de chez moi. J'ai une relations spécial avec Oliver et autant qu'avec Théa.
- comme ta famille...
- comme une famille normale dont je n'est pas eu le droit...
- y'a pas de famille normale mon amour ! Les choses ne sont jamais comme on le voulait.
- tu as raison...
- toujours, répond il en le prenant dans ses bras

Quelques jours plus tard, je suis rentrer. Théa était dans le salon, je l'entendais.
Je ne l'ai donc pas appeler en cassant ma voix. Je suis entrer dans le salon et j'ai déposer mon sac et mon manteau quand j'ai aperçu Théa...

dimanche 28 août 2016

Vertigo dans le sang

- je savais que tu allais parler... Théa si tu veux savoir quelque chose, je ne serai pas comme ton frère, je te dirais tout.
- je veux savoir si j'ai des chance de vivre heureuse comme toi ?
Je viens m'asseoir sur son lit et je regarde l'intérieur de ses yeux. Je comprends qu'une lueur d'espoir apparaît en elle. Elle avait perdu son père, sa mère et a deux doigt son frère alors elle n'était pas bien du tout.
- tu sais ce que je ne vois pas en toi que je voyais avant ?
- de l'espoir !
- non ! Tu commence a en avoir... Tu avais, quand tu étais petite une peluche tu te rappelle ?
- poussin ! Je m'en rappelle
- tu l'as perdu plusieurs fois et chaque fois que tu le perdais tu disais "c'est pas grave on le retrouvera". Tu étais forte, tout les danger et les moments triste, tu nous aidait a les surmontées grâce a ton sourire. Tu ne pleurais pas, tu n'étais pas en colère mais aujourd'hui je découvre une autre personne. Tu es toujours Speedy mais tu n'est plus souriante.
- j'ai essayer, j'ai essayer de retrouver ce sourire mais j'y arrive pas. J'ai pris de la drogue et j'ai bu, fait des choses abominable mais je me sens mieux quand je fais ça !
Elle commence a pleurer et me prend dans ses bras.

Le lendemain matin, pas de chance, j'ai été réveiller par les rayons du soleil mais chance de trouver Davon endormi. Je regardais son beau visage endormi quand tout d'un coup...
- franchement on aurai passer une bien meilleur nuit si on avait été nu ! Dit il les yeux encore fermer
- c'est toi qui l'a voulu pas moi !
Il a ouvert les yeux et m'a regarder pendant un moment.
- je voulais me comporter en gentleman ! Comment va Théa ? Me demande il
- mal ! Ça m'étonne pas, elle a perdu toute ça famille d'un coup alors...
- je sais ce que c'est... Si tu veux je vais lui parler.
- aujourd'hui elle doit aller a l'école, tu peux l'emmener et lui parler ?
- seulement si tu m'embrasse.
- chantage !
- non obligation !
Je l'embrasse et il me fait basculer sur le dos. Il embrasse mon corps et ce lève en entendant tout comme moi, des bruits provenant de la cuisine. J'ai mis ma chemise de soie et j'ai couru en criant le nom de Théa. Elle buvait un café assise tranquillement a table.
- ouais ?
- j'ai eu peur ! J'ai entendu un bruit et j'ai cru que tu étais en danger.
- ça va !

Elle m'a suivit jusqu'à la salle de bain, parlant de son ours poussin dont je lui avait parler hier soir.

Dans la soirée, je suis rentrer a la maison. J'ai découvert Théa coucher sur le canapé avec un drap sur elle. J'ai sortit un nounours que j'ai coller a ma joue avant de lui mettre entre les bras quand elle dormait.
Je lui est fait un bisous sur le front.
- dort bien Speedy...

Thea gentille

- je l'est est trouver !
Sur le pas de la porte, une jeune fille aux cheveux long et brun, au visage d'ange. Elle souriait de façon oser. Je me suis lever hyper vite et Davon un peu plus lentement.
- oh mon dieu Speedy !
- arrête de m'appeler comme ça !
Elle s'empresse de me sauter dans les bras et Oliver monte, quand il voit qu'on est en sous vêtement dans la chambre il me supplie de mettre au moins un haut. Je ris et enfile la chemise de Davon.

- tu m'as beaucoup manquer ! Je dis a Speedy quand elle me prend dans ses bras.
- tu pas du tout manquer par contre !
- je te crois pas !
- parce que c'est faux.
On a rit et j'ai présenter Théa a Davon, il était vraiment ravi de la rencontrer malgré le fait qu'elle est stopper des préliminaires.

On est descendu pour parler un peu pendant que Davon montait les valises de Théa dans sa nouvelle chambre.
- elle a pris du vertigo, dit Oliver énerver
- la drogue des glades, il parait qu'elle arrache ! Enfin je veux dire, tu as 17 ans Théa tu ne peux pas te permettre.
- oh non ne me fait pas la morale toi aussi !
Théa est monter dans sa chambre avec des pas lourd, Davon de retour pour des explication.
- ta mère fait quoi ? Je demande a Oli
- elle est en prison pour avoir menti a la ville et vouloir raser les glades mais elle a tout avouer et elle ce trouve a Elton Hays.
- bon je comprend mieux Théa...
- tu ne devrais pas me dire ça, je te la confit pour qu'elle est un endroit sur pour vivre. Je veux que tu m'envoie un message dès qu'elle fait une connerie.
Il partait mais je ne comprenais pas.
- attend tu vas ou ?
- je vais sur mon île !
- ton île ? Tu vas sur Lee an you ! Tu n'as pas le droit de faire ça.
- si j'ai le droit.
Il est partit et nous a laisser seul avec Théa.
Davon s'est approche de moi et m'a embrasser dans le cou.
- tu verras on y arrivera.
- on mange quand ? Cri Théa du deuxième étage.
- tu viens préparer le repas avec nous ? Demande Davon
- ouais !

On a passer un bon moment a cuisiner et a dîner et quand on était en bas avec Davon, on a parler de tout autre chose que Théa.
Elle souffrait beaucoup de tout ça et j'ai pas vraiment été la donc j'ai été la rejoindre dans sa chambre.
J'ai toquer et j'ai demander d'entrer, elle m'a répondu que je pouvais et je l'est trouver assise sur son lit en train de faire je ne sait quoi.
- salut ma puce ! Je lui dit. Ça ne va pas ?
- si super !
- je vois bien que non mais si tu ne veux pas en parler et le garder pour toi, d'accord.
Je partais vers la porte.
- attend ! Cri elle

Oliver gentille

- je provoque les gens ! Être riche et célèbre ne m'aide pas souvent, dit Oliver
Nous nous sommes assirent au salon et j'ai pris la main de Davon en lui disant de ne pas s'en faire.

Oliver était un peu spécial. Le genre de gars qui ne te cherche mas de problèmes tend que tu ne touche pas a sa protéger et malheureusement, sa soeur et moi étions ses petites protéger. On était comme cul et chemise Théa (soeur) et moi alors c'était assez facile pour lui de nous protéger.
Il était directe et ne faisait pas de compromis. Davon ne lui plait pas ? Vous pouvez être sur qu'il en fera qu'une boucher de pain. Il ne le faisait pas peur a moi. Il etait comme le grand frère que je n'est pas eu et je savais tout sur lui alors un dérapage et fini, le monde entier sera informer. En vérité, vous pouvez trouver ça un peu cru mais c'était notre pacte de l'amitier.
1. Ne jamais déraper et si on dérape l'autre doit le ramener a la raison, si par contre ça ne fonctionne pas alors on s'engage a faire une crasse a l'autre et l'autre comprendra ça connerie.

Toujours trop cru ? Alors je sais pas quoi dire de plus.
- j'ai eu de la chance ! Dit Oliver en parlant de ses 5 ans en enfer.
- en tout cas pendant ses 5 années je me suis jurer que si je le retrouvait je lui ferait voir de tout les couleurs.
- ça a du être difficile de revoir des gens qu'on a promis de ne pas oublier. J'imagine que c'est difficile.
- ça l'est mais quand on reviens en ayant imaginer cette façon de revenir on ne crois pas mourir de peur après tout ce qu'on a rater.
- j'avais un peu suivit ton histoire grâce au nombreuse intervention televiser mais je ne croyais pas que tu étais comme ça...
- comment je suis ? Cru ? Renfermer ? Le genre de gars a tête a claque ?
- Oliver !
- sérieux !
Oliver a rit et a proposer a Davon de lui apprendre a tirer a l'arc. Davon, content de pouvoir partager autre chose qu'un canapé a proposer un échange.
- d'accord laid tu veux boire quelque chose ? Un bourbons ? Un café ? Du bourbons dans ton café ?
- un bourbon tiens ! Ça me ferais très plaisir !

Plus tard dans la journée, Oliver a donc entrainer Davon a l'arc.
- il faut centré comme ça !
Il lui a montrer et a tirer pour finir dans le mille. Oliver a laisser Davon le faire seul et s'est mis a côté de moi pour me murmurer un truc très gentille.
- je l'aime bien ton copain !
- pourquoi tu es ici ? Je lui demande
- pour voir ton copain, apprendre a le connaitre.
- pourquoi tu es revenu ici, en ville ?
- une urgence avec Théa !
- elle va bien ?
- si aller bien c'est prendre de la drogue a l'âge de 17 ans alors oui !
J'ai souffler et demander a Davon si on pouvait accueillir quelqu'un pendant un moment. Il m'avait répondu oui et j'avais obliger Oliver a m'écouter.
- elle viendra ici et il n'y a pas de discussion possible un point c'est tout.

Le lendemain, j'ai demander a Davon si il allait bien.
- je vais bien t'inquiète ! Mais pourquoi cette question ?
- en faite je me sens coupable. J'ai comme obliger l'arrivée de Théa dans cette maison et c'est même pas la mienne.
- j'ai accepter parce que c'est chez toi autant que ça l'était dans ton appart. En parlant de ça, et si tu quittais définitivement ton appart et que tu habitait définitivement chez nous ?
Il est monter sur moi, il l'a fait basculer sur le lit en étant sur moi. Il m'embrassait dans le cou et je l'est tourner pour l'embrasser sur les lèvres. Il m'a retirer mon t-shirt et moi le sien. J'ai touche de mes lèvres son torse.
- je t'aime ! Dit il a haute et inéligible voix.
- moi aussi je t'aime Davon !
Un bruit de grognement nous a stopper net...

Entrainement intensifs

Ce jour la, j'avais entrainement et Davon est partit deux jours pour la suisse. J'avais donc passer mon temps a m'entraîner sur la chanson "le monde autour de toi" de M Pokora. Je dansais sans relâche seule. Je ne pensais qu'a cette nuit suivit de cette matinée la. Je ne pensais plus qu'a lui et qu'a nous deux dans ce lit. Un moment inoubliable après 3 mois de non sexe.

Je dansais dans un élan de confiance. La musique c'est arrêter au milieu et je me suis figer devant ma meilleure amie qui n'était pas la auparavant.
- salut ! J'ai dis en allant boire
- tu es essoufflé et ca fait deux heures que tu danse.
- tu es la depuis combien de temps ?
- depuis deux minutes mais j'ai regarder sur le livre et tu as garder cette salle pendant deux heures. Tu danse depuis 9 h du mat. Pourquoi ?
- parce que pendant un moment j'ai rater des entrainements, faut que je rattrape.
- tu as autre chose !
J'ai souffler parce qu'elle avait raison, j'avais un problème autre que l'entraînant.
- je me perd dans ses yeux, je ne suis plus moi, plus la fille qui aimait être désirer. J'aime toujours être désirer mais que par lui. Je ne sors plus, je ne plais plus, je ne fait plus la fête.
- tu es amoureuse et tout tes défauts d'avant que j'avais avant mon mec moi aussi, on disparu. Ton amour pour lui est normal. Ne gâche pas la chance qu'on pas les gens dans notre genre. On est des danseuses, des femmes qui danse de façon sexy et les mecs trouvent ça souvent tres... Puérile.
- mais lui il n'est pas comme les autres que j'ai rencontrer, je me perd dans ses yeux corps et âme. J'ai besoin de lui pour vivre mais j'avais une vie normal avant et maintenant je suis couper de tout contacte avec mes amis, ma famille, tu te rend compte, je ne sais plus ou est Oliver. Je ne vois plus mon meilleur ami.
- Oliver va très bien, il est un peu inquiet pour toi mais il va bien. Il aimerait rencontrer le mec qui te rend heureux.
- Oliver va bientôt le rencontrer ne t'en fait pas...
- si je te ferais un lait chaud !
- j'adore mais j'ai plus 5 ans...
- alors je ne t'en ferais pas !
Elle part mais je la stoppe.
- si attend ! J'aimerais bien en avoir quand même...
Elle rit.

Deux jours après, je me suis réveiller. Mes yeux ce sont ouvert et j'ai découvert le visage égayer de Davon. Je l'est embrasser.
- monte dans le lit avec moi ! Je lui est dit
- euh... Il y a un gars en bas qui dit te connaitre et qui fait la même carrure que moi, je pense que je vais le tuer.
- t'inquiète je vais voir qui s'est...

Je me suis habiller, j'ai couru pour descendre et j'ai vue son visage. Il était blond, les cheveux couper et la barbe de trois jours. Ses habilles étaient cher et très vite il me fit un sourire. Je me suis stopper quand je l'est vue puis j'ai couru au plus vite dans ses bras.
- je peux savoir qui c'est ou on va me tirer dessus ?
- tu as dit a Davon que tu allais lui tirer dessus si il me fait quelque chose c'est ça ?
- c'est ça !
J'ai sourit et j'ai regarder Davon. Je me suis approcher de lui et je l'est embrasser pour faire chier Oli mais j'ai rit de nervosité.

samedi 27 août 2016

Corps et âme

Nos pensés dissipait ce soir la, on avait passer notre temps a ce regarde sensuellement tout le week-end précédant mon anniversaire.
Nos regard mais surtout nos envie de chacun avait emplifier. Je l'avoue, chaque soir je rêvais de nos corps qui ce touchait, nos lèvres et nos courbes.

Lundi, Davon n'a pas arrêter de ce trimballer en calson dans la maison. Il m'a même glisser un mot dans mon livre que j'ai ouvert "tu es très sexy". J'ai donc penser qu'a lui et malheureusement, j'ai imaginer lui sauter dessus a un endroit que je connaissais même pas.

https://youtu.be/YUBmssSzF0k

J'ai eu une folle envie de toi et la passion ainsi que la tension sexuelle augmentait entre nous.
Un moment il est arriver, le sourire au lèvres et il m'a souffler a l'oreille :
- J'ai tellement envie de toi, là, tout de suite ! Le simple fait d'être à côté de toi suffit à m'exciter. Arrache moi ma chemise !
- Davon !
J'étais vraiment exciter, j'avoue que ça faisait trois mois que je n'avais plus rien fait et qu'il se trimballe souvent nu m'a fait voir beaucoup de chose. J'ai une envie folle de lui payer un resto la.
- pour ton anniversaire, on va au resto !
- faut  pas que je t'écoute. Je dois me retenir.
- Je veux caresser et embrasser chaque centimètre carré de ton corps. J'ai des frissons dans tout le corps rien qu'en te regardant. Tu n'as aucune idée de l'effet que tu me fais.
- oh si j'ai une idée, ne me parle plus ! Je risque de te sauter dessus.

Le jour même de mon anniversaire... Comme il m'avait promis, le resto. Je lui devais forcément quelque chose...Une danse.
Je l'ai pris dans mes bras et on a danser. Je l'est embrasser.

https://youtu.be/x5aC6wLfOUE

Le lendemain, j'ai été m'habiller avec une chemise qui lui appartenait. Quand il s'est réveiller, il a crier mon nom. J'ai accouru vers lui en sautant sur le lit.
- salut toi ! Il me dit
- salut toi !

https://youtu.be/7ouRUG-Dzlg

Tout la journée, on a rit. C'était obligatoire qu'a un moment on allait craquer et j'ai aller craquer.

Nettoyage de printemps

Avec Davon on avait parler la nuit entière, après que les ambulanciers soient partie. J'avais réfléchi, mon frère a fait une erreur dont il ne reviendra pas vivant. J'avais survoler un détails avec Davon. On avait décider d'inviter ma famille a dîner. On voulait leur dire quelque chose qui allait les laisser sur le cul. On voulait ou plutôt je voulais voir leur réaction.

On avait décider de ne pas cuisiner de trop, on avait donc commander chez le traiteur.
- tiens mon amour.

A la porte ça avait sonner. Je suis aller ouvrir, je leur avait dit d'aller s'assoir dans la salon. Mon frère étai présent comme ma meilleure amie que j'avais inviter.
Davon et moi étions debout devant eux. Davon ne savait pas vraiment tout mon plan.
- alors on vous demandez de venir pour vous annoncez qu'on va ce marier...
Davon lui même était sur le cul. Il me regardait comme si il avait pas compris puis il s'est approcher de moi et m'a entourer de son bras.
- toutes les félicitations ! Cri Beth
- incroyable. C'est super ! C'est... Dit mon père un peu retourner
- génial ! Super !
mon frère et ma mère me regardait comme si j'allais devenir une étrangère a leurs yeux.

- tu te fous de nous ? On t'a dit qu'on le déteste ! Cri mon frère
- c'est pas un gars pour toi et tu continu... Lance pas mère
- c'est pas vrai, on est pas fiancé. On ne va pas ce marié.
- pourquoi tu as fait ça.
Je me suis mise a pleuré et Davon ma prise dans les bras.
- calme toi mon amour ! Respire.
- je veux faire un nettoyage, les gens qui sont nocifs pour moi. Davon n'est pas nocif pour moi.
- mais tu ne peux pas embrasser et être avec ça ! Dit ma mère
- a bon ! Je lui répond. Et ça c'est quoi?
J'ai attraper la tête de Davon et je l'est embrasser langoureusement. J'ai entendu Beth rire a gorge déployer, mon père gronder, ma mère sussurer le mot "connard" et ma soeur souffle de bonheur.

- papa, petite soeur et Beth vous pouvez monter de notre chambre.
Il sont monter et nous on laisser ensemble.
- je veux plus vous voir chez moi, ou ici. Chaque fois que je suis heureuse, trois personne son a mes cotés. Le reste me tourne le dos. Le pire et ce qui m'a fait comprendre que c'était vous le reste, c'est l'allergie. Je sais que Andrew n'était pas la le soir du dîner et je sais qu'il ne savait pas pour l'allergie alors vous allez...
- tu vas mourir la belle attention... ! Cri Beth
Les pas devenait de plus en plus rapide et énerver.
- qu'est ce que c'est que ça Anais ?
Mon père montrait des vêtements qu'il y avait par terre.
- des vêtements !
- pourquoi ils étaient par terre ?
- parce qu'on s'est changer pour vous...
- y'a intérêt.
- j'ai 24 ans et 25 dans un mois, je vois pas ce que tu as a m'interdire.

Ils sont remonter et je me suis tourner vers eux.
- je veux que vous sortiez définitivement de ma vie. Je veux plus vous voir. Partez et maintenant. 

- sinon quoi ? Me demande ma mère
- sinon j'irai voir la police pour avoir empoisonnée mon petit copain.
J'ai sussurer a l'oreille de Davon "aide moi je peux plus".
- sortez de chez moi, elle vous a dit de sortir.
- et si j'ai envie de parler avec ma soeur ?
- tu vas sortir de cette maison petit padawan parce que si je te sors moi même la crotte de la dernière fois, c'est dans ta tête que je l'a mettrais.
Ils sont sortit et j'ai sauter dans les bras de Davon en pleure.
- tu sais...

vendredi 26 août 2016

La crotte

De retour, vous devez mieux me comprendre quand je parle de mon grand frère. C'est pas la meilleure réussite de mon père. Par contre c'est l'ange de ma mère. J'avoue il est très beau mon grand frère mais c'est un connard de première.

Le lendemain, alors que Davon et moi étions dans le salon, coller a son corps et son bras contre ma poitrine.
Un cri retentit, des pas de plus en plus rapide s'approche de l'escalier. Andrew descend les escaliers, il est vraiment énerver.
- pourquoi il y a de la crotte sur mon lit.
- ça doit être le chien ! Dit Davon
- on a un chien ? Demande Andrew
- ON a un chien et non toi !
Mon frère a râler et est monter énerver dans sa chambre.
J'ai entendu Davon rire.
- on a un chien ? Je lui demande
- non !
- bin c'est quoi ?
- les crottes du chien du voisin...
- les prochain voisin son a 1 km
- ah alors je sais pas a qui ça appartient !

J'ai ris et il m'a embrasser la tête.
Le soir même, mon frère est sortit prendre l'air alors notre pari a repris cours.
Davon m'a attraper dans mon dos, il m'a tenu et retirer mon soutien alors que j'étais habiller d'une robe.
Il m'a fait tournoyer et un jeu de séduction était engager.
Une danse sensuelle et enivrante nous propulsaient en haut de l'estime.
J'ai senti une pulsion. Une envie de tout déchirer. Un sentiment criard, un sentiment qui s'intensifiait dés qu'il embrassait mon coup.
Il m'a tourner vers lui et j'ai embrasser son cou, déchire sa chemise et rit. Il m'a pousser sur lit et m'a déchirer le petit pull. J'ai repris vite conscience.
- tu as failli m'avoir...

Il s'est lever et a pris son verre de bourbon. Il a commencer a s'étouffer, il s'est rouler par terre et a commencer a cracher du sang. Il suait a grosse goute. Je l'est donc coucher sur le lit. J'ai appeler les ambulance. Mon frère est entrer dans la chambre.
- une crasse de faite ! Dit il
- qu'est ce que ? Tu as fait quoi ?
- j'ai mis du citron dans son verre quand il disait monter au toilette.
- mais il en est allergique, tu es malade.
J'ai commencer a pleurer. J'ai senti cette boule au fond de la gorge lorsqu'on ce retiens de pleurer.
- c'est bon c'est pas grave !
- si, il...




Au antipodes de l'amour

Anaïs ne voulais pas écrire aujourd'hui cette épisode. Elle se sentait mal mais ça c'est pas de ma faute et encore moins de la sienne.
Je continu son histoire ou elle s'est arrêter.
Un soir... Alors qu'elle et moi cuisinions, en sous vêtements, la porte a sonner. J'ai été ouvrirent. Un homme des plus bizarre m'a dit bonjour.
- salut, Anaïs habite l'a en colocation avec toi ? Demande il
- non c'est pas petite amie. Tu cherche quoi ?
Il m'a regarder de haut en bas et m'a regarder de nouveau très gêner.
- en faite je voulais juste la voir.
Il a voulu entrer mais je me suis mis sur son passage.
- je suis son frère. Ma mère m'a dit de venir la voir parce qu'il parait qu'elle est heureuse avec un connard. C'est toi la connard ?
- non je suis pas un connard.
- alors ma mère s'est tromper de mot. Elle peut être un peu brute de décoffrage.
- entre ! Je lui dis par obligation

Il entre et Anaïs qui ce trimbalait en sous vêtement et en chemise en soie, dansait.
- c'était qui mon chéri ? Dit elle en dansant et en cuisinant en même temps.
- Anaïs ! Je dis un peu gêner

Elle s'est retourner vers nous et a vue son frère tout sourire.
- salut ma belle !
- grand frère !
Gêner, elle a refermer sa chemise en soie. Elle m'a regarder comme si j'avais fait l'erreur de le faire entrer.

On s'est assis sur le canapé et on a pris un apéro.
- Andrew ! Pourquoi tu es la ?
- maman, m'a dit que tu était heureuse et que je manquais une réelle opportunité de  me réconciliée avec toi. Je voulais aussi savoir qui était l'heureuse élu.
- combien de temps ?
- deux semaines. Je vais rester dans cette maison pendant deux semaines.
- dans cette maison ? Je demande
- ouais pourquoi tu serais ici ?
- parce qu'a la bas je devais dormir chez toi mais tu habite ici maintenant alors...
- et qui te dit que Davon te laissera résider chez lui. C'est son droit le plus total de dire non !
- c'est bon il peut dormir une chambre du fond.
Je pensais surtout a l'intimité de notre couple. Depuis que l'on frère est partit avec sa soeur dans leur maison a eux et que nous étions seul, j'avais aimer passer mon temps avec elle et nu dans cette maison.
- bon d'accord si tu accepte je pense que tout ira...

Dans le reste de la soirée, j'ai suivi Anaïs donnant les couvertures a son frère. Il avait sourit et j'ai trouver ça vraiment délirant mais j'avais envie de lui donner une claque dont il se souviendra toujours.

On est aller dans la chambre pour parler.
- il m'énerve, dit elle
- je sais que c'est pas facile de devoir accueillir quelqu'un que tu n'as pas envie de voir mais il est la que pendant deux semaines. Il ne va pas nous emmerder bien longtemps.
- tu ne le connais pas. Si il peut rendre ma vie un enfer il le fera. Ne t'inquiète pas pour ça.
- Et si on lui rendait la vie plus horrible qu'il ne la rendra pour nous ?
- parfaite idée, je vais l'emmerder jusqu'à la fin de sin séjour.
- ensemble !
- ensemble !

Elle s'est approcher de moi, m'a embrasser et m'a dit "je t'aime".

Jay ou plutot Larry.

- Jay, enfin Larry.
- c'est le frère de Davon ! Tu sors avec le frère de Davon ! Tu es avec lui ! Mais comment ? Ou ?
- alors la je savais pas que c'était son frère.
- c'est pas grave !

Dans la soirée, ma mère et mon père n'ont pas arrêter de parler et poser des questions. J'ai poser ma main sur le genoux de Davon et il a eu peur mais ça m'a fait rire. Davon avait été incroyable. Il avait fait un tabac. Mon père l'adorait, ma soeur aussi et ma mère elle en était septique mais je m'en foutais.

Le lendemain, j'étais dans la douche et Davon est venu me poser une question.
- tu veux qu'on aille au bar ce soir. On jouera au billard.
- je n'est un bon niveau au billard.
Il voyait tout et il le savait. Il avait poser un rideau transparent y'a un moment.

- je t'apprendrais.
Je suis sorti, j'ai mis une serviette autour de ma poitrine et je me suis regarder dans le miroir. Il m'a entourer de ses bras et j'ai aimer ça.
- même si tu m'apprend j'ai un niveau déconcertant.
- tu verra, tu sera la meilleure.

Je me suis tourner vers lui et je l'est pris dans mes bras. Il a aimer et savait que c'était dans mon plan alors il parlait sans arrêt. Je lui est dit de ce taire et je l'est embrasser.
- dit plus un mot.
- je t'aime !
- plus un mot
Je l'est emmener dans la chambre et l'est coucher sur le lit. Je lui est embrasser le torse et le cou.
Il m'a fait basculer et m'a stopper.
- tu ne m'aura pas comme ça...
- prépare toi ! On va aller au bar.

Il s'est préparer et nous sommes partit. On a tout d'abord discuter au bar devant un verre de bourbon. Puis on a jouer au billard entre plusieurs baiser. Je me suis senti vibrer. J'étais heureuse enfin. Le problème, je ne sortais plus voir mes amis. Ma famille était en train de le manquer et malgré mes plusieurs café et entrainement (chaque jour) avec elle, ma meilleure amie me manquait.
Il comblait le vide que je ressentais sans lui depuis mon enfance.
C'est lui le bon, le vrai. Il était mon pilier.

Ça faisait deux mois que j'étais avec lui. Chaque jour on dansait, on parlait et surtout on se faisait nos coups tordu. Enfin un moment de ma vie ou c'est stable. Un soir...

Diner et invités

Le lendemain, j'ai penser a faire découvrir ce que je déteste tend de ma famille.
- si on invitait ma famille a dîner ce soir a la maison ? Tu pourras te faire ta propre interprétation de ma famille et ils verront que je suis en vie.
- super ! Ils verront aussi que je suis parfait...
- et que je suis stable avec quelqu'un de parfait.

Toute la journée, on a préparer le dîner du soir. Je les avaient appeler. Ma mère, mon père et ma soeur. Ils avaient tous répondu "oui" a l'invitation.
Quand ils sont arriver, Davon s'est présenter. On a bu un apéro et plein de question on été poser
- quel travail fait tu ? Demande mon père
- j'ai repris la compagnie maritime de ma famille et pour l'instant tout ce porte très bien.
- en quoi ça consiste ?
- je travail exclusivement a la maison. Je ne suis pas obliger d'aller a un bureau ou dans l'entreprise car l'entreprise c'est moi qui dirige par téléphone. Je vais quelque fois au siège social mais il ce trouve en suisse donc je n'y vais pas souvent.
- et ta famille, pourquoi cette grande maison ?
- alors ma famille est décéder sur un bateau de notre compagnie. Une vague déferlante a détruit trois de nos bateaux dont celui ou résidait ma famille. Il ne reste que mon frère et moi. Et cette maison c'est celle dans laquelle j'ai grandit.
- désoler pour ta famille.
- ce n'est pas grave. Vous ne saviez pas.
- j'ai besoin de savoir ! Comment tu a connu ma fille ?
- elle faisait son jogging sur la plage et elle a voulu me draguer en faisant mine de faire tomber ses écouteurs. Je l'est revu le soir même.
- et vous avez déjà...
- papa s'il te plait ?
Ma soeur lui a poser des questions sur son enfance sur ses choix et ses gouts. Puis ma mère a poser une question qui l'a rendu septique.
- le soir ou je suis venu est ce que vous avez coucher ensemble ?
- je vais voir si le repas est près... Dit Davon en allant vers la cuisine.

Mes parents ce sont tourner vers moi et ma soeur a dit qu'elle l'aimait bien.
- moi je le déteste ! Dit ma mère
- je me fous de ce que tu dis toi ! Je me fous de ce que tu pense.
- moi j'aime bien ce gars ! Rétorque mon père.
Je suis aller voir Davon dans la cuisine. Il soufflait de lassitude appuyer sur le plan de travail.
- mon amour ! Ça va pas ?
- j'ai du mal avec les questions qu'ils me posent. J'ai bien aimer ta soeur mais ton père a l'air de me détester, et ta mère c'est pire.
- tu te trompe, mon père t'aime bien et ma mère te déteste mais on s'en fou de ce qu'elle a a dire. Je t'aime et c'est pas l'avis de ma mère qui m'importe.
- je t'aime Anaïs !

On s'est embrasser puis il m'a soulever sur le plan de travail. Il m'a embrasser dans le cou lorsqu'il commençait a enlever mon t-shirt.
Malheureusement, ma soeur est entrer dans la cuisine et a rit. On était un peu gêner mais Davon est aller dans le salon pour nous laisser parler.
- il est mignon ! Dit elle
- je sais. Je pense que je ne serais pas heureuse sans lui.
- tu as jamais été aussi heureuse qu'aujourd'hui. Tu as l'air souriante et combler.
- et toi tu as l'air de sourire plus que d'habitude. Tu as l'air amoureuse.
- je le suis. J'ai rencontrer un gars qui est magnifique. Bizarrement il ressemble un peu a ton mec.
- il s'appelle comment ?

jeudi 25 août 2016

Seduction amoureuse

Je reprend les reines. A mon tour de parler de mon coté sensuelle. Il est vrai que la pas si en entre lui et moi, j'aimais la ressentir. J'aimais désirer presque autant que d'être désirer. Il m'avait prouver que désirer etait fort.
Il m'avait fait le mauvais coup de montrer une nouvelle fois sa nudité, cette idée m'était survenu a cause de lui.

Il descendait alors que j'avais enlever la veste de soie et mon soutien gorge. Je mettais cacher derrière le mur donnant sur la pièce. Juste derrière la porte. Quand il est entrer, j'ai fermer la porte et je l'est pousser sur le canapé. Je sentais qu'il faisait son possible pour gagner. Une façon folle de me montrer qu'il tenait a moi en respectant mon pari.
Je l'embrassais mais un moment il ne tenait plus. Il m'embrassait dans le cou et me laissait caressé son torse nu. Il n'a pas entièrement craquer... Il m'a pousser, ramasser le soutien gorge et me l'a lancer en me suppliant de ne pas refaire le coup.

Pendant un mois, on s'est amuser comme ça. Personne n'a craquer. Il m'a un soir poser une question.
- ta famille et toi avez de gros problème mais tu ne m'en a pas parler.
- si ma mère et moi avons déjà cette tension c'est simplement parce qu'elle n'a jamais été la pendant mon enfance. Elle m'a laisser tomber le jour de ma naissance en laissant mon père s'occuper de mon frère et moi seul. Un beau jour, elle est revenu. Mon père l'a pardonner. Elle lui a fait un enfant. Ma petite soeur. Ma petite protéger avec qui j'ai toujours communiquer. C'est la seule avec qui je n'est pas de tension constante. Et puis ma famille n'a jamais été un modèle, la mienne n'est pas comme la tienne. Tu as de la chance d'être encore proche de ton frère. Moi et ma soeur essayons de lui parler mais il ne veux rien entendre. J'en est pleurer un moment. Un moment qui sans conteste était le pire. Aujourd'hui ma mère essaye de ce faire pardonner ses erreurs mais j'ai encore du mal a lui faire confiance....
- si tu savais ! Ma famille n'étais pas non plus un modèle. Mon frère ce droguait et continue. Mon père était un connard. Mon grand père était pire et ma grand mère et ma mère et des femmes précieuse. Deux bijoux d'un monde sombre. Je trouve au tu es le plus brillant de tout les bijoux du monde car en peu de temps mon sourire s'est vite former lorsque je t'es vue entrer dans la bar l'autre fois.
- c'est drôle, on est la sur le lit a ce parler. Moi la tête coller sur ton ventre et toi qui écoute. Tu connais cette chanson d'Édith Piaf " les mots d'amour" je crois que c'est ce que je ressens.
- moi aussi je t'aime mon amour. Mais attend ! Depuis combien de temps tu n'as pas allumer ton téléphone?
- depuis sue ton frère est parti, ça doit faire un mois. Mais attend, j'ai dit a personne a part a Beth ou j'étais. Ma soeur doit s'inquiéter.

Je suis sortir du lit et j'ai vite couru vers mon téléphone. J'ai failli l'allumer mais j'ai penser qu'ils attendrons demain. J'ai donc regarder Davon et il m'a demander pourquoi je n'allumais pas ce moyen de communication. Je lui avait répondu aussi vite que je préfère rester coucher avec lui sur le lit.

Un amour inconditionnels

Rien que pour cette épisode, c'est moi qui vais parler. Le beau et ténébreux Davon. Je veux que vous compreniez ce que je ressens a son égard. Je veux que vous compreniez que sans son arrivée sur la plage, je ne serais pas heureux.
J'avoue être le genre de gars qui aime les femmes mais Anaïs aime les hommes ou plutôt ce faire désirer. J'avoue aussi que j'ai un mal fous a me retenir de la prendre a n'importe quel endroit.
Revenons a notre histoire. Alors que je croyais que ce soir c'était le bon soir, je m'étais tromper. Elle était monter dans la chambre pour parler avec sa meilleure amie.
- je sais pas si j'ai envie de coucher avec lui maintenant. Il me donne une sensation. J'aime bien le pari, j'aime bien sentir qu'il est a deux doigt de craquer et j'aime bien les choses folles qu'on fait. Il s'est mis nu devant moi et m'a donner une envie de lui, incroyable. J'ai aussi senti un sentiment hier soir. Il n'allait pas bien hier soir, j'ai aimer me blottir dans ses bras. J'ai aimer le regarder dormir ce matin.
Je suis partit parce qu'elle tournait sur elle même et risquait de me découvrir.
Elle voulait continuer de ce faire désirer, elle voulait ressentir cette pulsion qu'il est vrai je ressentais aussi. Ok j'allais m'en charger.
Cette passion entre nous était inédite, je n'avais jamais ressenti ça d'une femme. J'ai envie de la combler, de sentir son corps s'exalter. J'avais envie de dormir avec elle dans mes bras, de lui prouver mes talents de cuisinier et de danser chaque minutes avec elle sans m'arrêter.
J'ai donc proposer a mon frère de partir de la ville pendant un moment. Il avait accepter et lorsqu'il est partit avec sa valise a la main, je suis monter voir Anaïs.
Elle dormait, elle dormait sans son drap et son cousin sous la tête. Je lui est mis et j'ai caresser sa joue, son visage. La chaleur de son corps m'a attirer près d'elle et je me suis donc coucher derrière elle. J'ai entourer son corps de mes bras. J'ai fermer les yeux en imaginant la journée de demain et les coups tordu que j'allais lui faire pour qu'elle craque.

Le lendemain, je me suis réveiller et je ne l'est plus trouver dans le lit. Elle est arriver habiller d'un simple appareil de lingerie. Elle s'est coucher a mes cotes et m'a poser la mains sur son sein. J'ai continuer a prendre la courbe de son corps. J'ai compris son stratagème.
Je suis sortit très vite du lit et j'ai été me déshabiller. Elle voulait sortir de la chambre mais je l'est bloquer.
Elle était gêner, elle avait vue ma nudité et avait décider de refermer sa veste en soie. Avec son air encore gêner, elle est passer a coté de moi. Je sentais qu'elle avait peur de craquer et j'ai imaginer le visage qu'elle avait quand elle a atteint la dernière marche de l'escalier.

- j'ai demander a mon frère de nous laisser seul pendant un moment, il a décider d'aller pendant un mois a la maison de campagne de la famille ! Je lui cri au deuxième étage.
- ok ! Me répond elle toujours en criant. Davon viens la s'il te plait ?
Elle avait l'air de m'en vouloir pour quelque chose...

Une maladie hors du commun

Le lendemain, je me suis réveiller dans ses bras. Il dormait encore et je le regardais lui seul. J'essayais de ne pas le regarder. Je me suis lever et j'ai été dans la cuisine. J'ai pris un café et j'ai pris un médoc. J'avais mal a la tête, j'ai plus faim, j'ai plus soif, je ne pense plus a faire la fête et a je pense qu'a lui. J'essayais de penser a autre chose mais rien que lui était dans mon être.
Le téléphone poser sur la table de la cuisine a sonner. C'était celui de Davon.
Le message s'affichait. "Tu es sur?"

J'allume le téléphone, je regarde les messages. Il parle avec une fille, cette fille lui demande de sortir ensemble ce soir.
Il descendait. Je me suis tourner vers lui son téléphone a la main et la tête des plus vexer.
- tu fais quoi ?
- je voulais savoir si tu avais un plan pour m'avoir mais je vois que tu as un autre plan pour ce soir.
- tu as lu mes messages.
Je suis partit et il m'a attraper le bras.
- tu n'as pas tout lu. Je lui est répondu que je ne voulais pas. Elle m'a demander si je voulais plus d'elle. Alors je lui est dis qu'une autre personne m'intéressait, elle m'a cracher a la gueule et maintenant elle veux savoir si je suis sur.
- c'est qui qui t'intéresse ?
- c'est une fille qui est souvent chez moi et qui a fait un pari fous dans lequel j'ai marcher. J'aurai pas du parce que j'ai une irrésistible envie d'elle mais je me retiens.
- et si je te payais un resto.
- je préfère que ce sois moi...

Je l'est embrasser. Je me suis vite pousser.
- c'était un piège. Davon! Tu l'as fait exprès.

Je suis parti en courant dans la chambre et j'ai mis des habilles. Je suis parti en entrainement. Arriver la bas, je trouve Davon a parler avec ma meilleure amie.
L'heure du début de l'entrainement a sonner. C'est lui le prof de danse.

- c'est la salsa, aujourd'hui. Je choisi ma partenaire. Anaïs !

Il m'a attraper la main et m'a fait tourner trois fois.
- la salsa c'est le désir de l'autre. Il faut sentir une alchimie.
On a danser, on s'est désirer. On s'est regarder et séduit par les courbes de nos corps. J'ai voltiger, fait confiance et embrasser la danse de façon sexy.
A la fin de la danse entre lui et moi, on s'est embrasser. Il n'y avait plus que ma meilleure amie dans la salle, une assemblé entière de téléspectateurs qui acclamait notre danse. Je ne les voyaient pas.
- j'ai perdu ! On a dit en même temps
On rit en pensant qu'on était fous. On avait perdu le jeu du je t'aime ou plutôt de l'amour.
J'étais amoureuse, je le sentais. Ma maladie chronique : l'amour. Je n'avais jamais ressenti de tel émotions...

mercredi 24 août 2016

La guerre des culs

- alors tu fais ça. C'est la guerre. Pas pitier.
Je suis monter dans sa chambre. J'ai pris mon sac et je suis sortit en criant :
- je vais résider ici temps qu'aucun de nous deux n'a craquer. C'est terminer, tu vas bander plus que jamais tu as bander de ta vie.

Je suis aller chercher de quoi m'habiller pendant une trentaine de jours. Je savais que cette guerre allait durer. Il était autan déterminer que je l'étais.
En revenant chez lui, je m'assois sur son canapé en allongeant les jambes. Je voilà qui viens vers moi. Il soulève mes jambes pour s'assoir a cette endroit.
- tu crois que c'est vraiment la guerre entre nous ?
- tu m'as montrer ton appareil génital, c'est pire que la guerre.
- et si pour cette après midi on faisait une trêve ? On pourrais aller au parc ou on resterais la pour parler.
- c'est un piège, j'en suis sur.
- pas du tout !
- j'agite le drapeau blanc le temps d'un après midi, a 18h30 ça recommence.
- super.

Il allume la télé, me lève et se met a ma place pour mieux me remettre, sur ses genoux mais au moins j'étais assise.

A 1h du matin, la guerre avait déjà recommencer et j'ai décider de l'avoir a l'usure.
Je suis arrivée dans son sommeil et j'ai embrasser son torse. Il aimait bien ça. Il sussurait même mon prénom.
Puis il a vue que c'était moi. Il s'est redresser et m'a mis a coté de lui.
- failli !
Je me couche a coté de lui et toute la nuit, je le regarde dormir, enfin essayer, il bougeait plus que le matelas d'eau de ma chambre.
Il était trop beau, la nuit entière, il a même rêver de moi. Il criait mon prénom qui résonnait dans toute la chambre.
D'un coup, il se mis a suer de plus en plus fort. Mon prénom était crier de plus en plus fort accompagner d'un "a l'aide".

J'ai été lui chercher une bouteille d'eau et une couverture.
J'ai réveille Davon, il a bu en s'en foutent un peu partout. Il avait froid et me regardait bizarrement. J'ai eu envie de l'embrasser alors c'est ce que je fis.
- je suis désoler que tu es a voir ça!
- de quoi a tu rêver ?
- j'ai fait le cauchemar que je fais souvent depuis la mort de ma famille. J'ai imaginer que je coulais et toi tu me regardais en essayant de m'aider mais tu n'y arrivait pas...