- alors tu fais ça. C'est la guerre. Pas pitier.
Je suis monter dans sa chambre. J'ai pris mon sac et je suis sortit en criant :
- je vais résider ici temps qu'aucun de nous deux n'a craquer. C'est terminer, tu vas bander plus que jamais tu as bander de ta vie.
Je suis aller chercher de quoi m'habiller pendant une trentaine de jours. Je savais que cette guerre allait durer. Il était autan déterminer que je l'étais.
En revenant chez lui, je m'assois sur son canapé en allongeant les jambes. Je voilà qui viens vers moi. Il soulève mes jambes pour s'assoir a cette endroit.
- tu crois que c'est vraiment la guerre entre nous ?
- tu m'as montrer ton appareil génital, c'est pire que la guerre.
- et si pour cette après midi on faisait une trêve ? On pourrais aller au parc ou on resterais la pour parler.
- c'est un piège, j'en suis sur.
- pas du tout !
- j'agite le drapeau blanc le temps d'un après midi, a 18h30 ça recommence.
- super.
Il allume la télé, me lève et se met a ma place pour mieux me remettre, sur ses genoux mais au moins j'étais assise.
A 1h du matin, la guerre avait déjà recommencer et j'ai décider de l'avoir a l'usure.
Je suis arrivée dans son sommeil et j'ai embrasser son torse. Il aimait bien ça. Il sussurait même mon prénom.
Puis il a vue que c'était moi. Il s'est redresser et m'a mis a coté de lui.
- failli !
Je me couche a coté de lui et toute la nuit, je le regarde dormir, enfin essayer, il bougeait plus que le matelas d'eau de ma chambre.
Il était trop beau, la nuit entière, il a même rêver de moi. Il criait mon prénom qui résonnait dans toute la chambre.
D'un coup, il se mis a suer de plus en plus fort. Mon prénom était crier de plus en plus fort accompagner d'un "a l'aide".
J'ai été lui chercher une bouteille d'eau et une couverture.
J'ai réveille Davon, il a bu en s'en foutent un peu partout. Il avait froid et me regardait bizarrement. J'ai eu envie de l'embrasser alors c'est ce que je fis.
- je suis désoler que tu es a voir ça!
- de quoi a tu rêver ?
- j'ai fait le cauchemar que je fais souvent depuis la mort de ma famille. J'ai imaginer que je coulais et toi tu me regardais en essayant de m'aider mais tu n'y arrivait pas...
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