jeudi 25 août 2016

Seduction amoureuse

Je reprend les reines. A mon tour de parler de mon coté sensuelle. Il est vrai que la pas si en entre lui et moi, j'aimais la ressentir. J'aimais désirer presque autant que d'être désirer. Il m'avait prouver que désirer etait fort.
Il m'avait fait le mauvais coup de montrer une nouvelle fois sa nudité, cette idée m'était survenu a cause de lui.

Il descendait alors que j'avais enlever la veste de soie et mon soutien gorge. Je mettais cacher derrière le mur donnant sur la pièce. Juste derrière la porte. Quand il est entrer, j'ai fermer la porte et je l'est pousser sur le canapé. Je sentais qu'il faisait son possible pour gagner. Une façon folle de me montrer qu'il tenait a moi en respectant mon pari.
Je l'embrassais mais un moment il ne tenait plus. Il m'embrassait dans le cou et me laissait caressé son torse nu. Il n'a pas entièrement craquer... Il m'a pousser, ramasser le soutien gorge et me l'a lancer en me suppliant de ne pas refaire le coup.

Pendant un mois, on s'est amuser comme ça. Personne n'a craquer. Il m'a un soir poser une question.
- ta famille et toi avez de gros problème mais tu ne m'en a pas parler.
- si ma mère et moi avons déjà cette tension c'est simplement parce qu'elle n'a jamais été la pendant mon enfance. Elle m'a laisser tomber le jour de ma naissance en laissant mon père s'occuper de mon frère et moi seul. Un beau jour, elle est revenu. Mon père l'a pardonner. Elle lui a fait un enfant. Ma petite soeur. Ma petite protéger avec qui j'ai toujours communiquer. C'est la seule avec qui je n'est pas de tension constante. Et puis ma famille n'a jamais été un modèle, la mienne n'est pas comme la tienne. Tu as de la chance d'être encore proche de ton frère. Moi et ma soeur essayons de lui parler mais il ne veux rien entendre. J'en est pleurer un moment. Un moment qui sans conteste était le pire. Aujourd'hui ma mère essaye de ce faire pardonner ses erreurs mais j'ai encore du mal a lui faire confiance....
- si tu savais ! Ma famille n'étais pas non plus un modèle. Mon frère ce droguait et continue. Mon père était un connard. Mon grand père était pire et ma grand mère et ma mère et des femmes précieuse. Deux bijoux d'un monde sombre. Je trouve au tu es le plus brillant de tout les bijoux du monde car en peu de temps mon sourire s'est vite former lorsque je t'es vue entrer dans la bar l'autre fois.
- c'est drôle, on est la sur le lit a ce parler. Moi la tête coller sur ton ventre et toi qui écoute. Tu connais cette chanson d'Édith Piaf " les mots d'amour" je crois que c'est ce que je ressens.
- moi aussi je t'aime mon amour. Mais attend ! Depuis combien de temps tu n'as pas allumer ton téléphone?
- depuis sue ton frère est parti, ça doit faire un mois. Mais attend, j'ai dit a personne a part a Beth ou j'étais. Ma soeur doit s'inquiéter.

Je suis sortir du lit et j'ai vite couru vers mon téléphone. J'ai failli l'allumer mais j'ai penser qu'ils attendrons demain. J'ai donc regarder Davon et il m'a demander pourquoi je n'allumais pas ce moyen de communication. Je lui avait répondu aussi vite que je préfère rester coucher avec lui sur le lit.

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