jeudi 25 août 2016

Une maladie hors du commun

Le lendemain, je me suis réveiller dans ses bras. Il dormait encore et je le regardais lui seul. J'essayais de ne pas le regarder. Je me suis lever et j'ai été dans la cuisine. J'ai pris un café et j'ai pris un médoc. J'avais mal a la tête, j'ai plus faim, j'ai plus soif, je ne pense plus a faire la fête et a je pense qu'a lui. J'essayais de penser a autre chose mais rien que lui était dans mon être.
Le téléphone poser sur la table de la cuisine a sonner. C'était celui de Davon.
Le message s'affichait. "Tu es sur?"

J'allume le téléphone, je regarde les messages. Il parle avec une fille, cette fille lui demande de sortir ensemble ce soir.
Il descendait. Je me suis tourner vers lui son téléphone a la main et la tête des plus vexer.
- tu fais quoi ?
- je voulais savoir si tu avais un plan pour m'avoir mais je vois que tu as un autre plan pour ce soir.
- tu as lu mes messages.
Je suis partit et il m'a attraper le bras.
- tu n'as pas tout lu. Je lui est répondu que je ne voulais pas. Elle m'a demander si je voulais plus d'elle. Alors je lui est dis qu'une autre personne m'intéressait, elle m'a cracher a la gueule et maintenant elle veux savoir si je suis sur.
- c'est qui qui t'intéresse ?
- c'est une fille qui est souvent chez moi et qui a fait un pari fous dans lequel j'ai marcher. J'aurai pas du parce que j'ai une irrésistible envie d'elle mais je me retiens.
- et si je te payais un resto.
- je préfère que ce sois moi...

Je l'est embrasser. Je me suis vite pousser.
- c'était un piège. Davon! Tu l'as fait exprès.

Je suis parti en courant dans la chambre et j'ai mis des habilles. Je suis parti en entrainement. Arriver la bas, je trouve Davon a parler avec ma meilleure amie.
L'heure du début de l'entrainement a sonner. C'est lui le prof de danse.

- c'est la salsa, aujourd'hui. Je choisi ma partenaire. Anaïs !

Il m'a attraper la main et m'a fait tourner trois fois.
- la salsa c'est le désir de l'autre. Il faut sentir une alchimie.
On a danser, on s'est désirer. On s'est regarder et séduit par les courbes de nos corps. J'ai voltiger, fait confiance et embrasser la danse de façon sexy.
A la fin de la danse entre lui et moi, on s'est embrasser. Il n'y avait plus que ma meilleure amie dans la salle, une assemblé entière de téléspectateurs qui acclamait notre danse. Je ne les voyaient pas.
- j'ai perdu ! On a dit en même temps
On rit en pensant qu'on était fous. On avait perdu le jeu du je t'aime ou plutôt de l'amour.
J'étais amoureuse, je le sentais. Ma maladie chronique : l'amour. Je n'avais jamais ressenti de tel émotions...

Aucun commentaire:

Publier un commentaire